«Rien n’est plus drôle que le malheur»Cette réplique de Nell à Nagg résume bien l’humour qui caractérise l’écriture de Beckett. Farce tragique, tragédie burlesque, comédiemorbide, Fin de partie est tout cela à la fois.
LA PRESSE EN PARLE :
«l’un de nos coups de coeur de la semaine : un Beckett comique et subtil…Une pièce sans espace-temps…qui rappelle à la foisles enfers et le paradis…»Anaelle Croiset ARLYOMAG
«Distribution magnifique de subtilité et de sensibilité…»Michel Dieuaide Les trois coups